Le gouvernement : La décision d’arrêter les motos est principalement motivée par des raisons de sécurité

Le ministre de la culture, des arts, de la communication, des relations avec le parlement et porte-parole du gouvernement, Al Hussein Ould Medou, a attribué la raison de l’arrêt des motos à des raisons de sécurité en premier lieu.
Au cours de la conférence de presse qui a suivi la réunion du gouvernement, le ministre a déclaré que les motos n’avaient ni douane, ni carte grise, ni permis de conduire.
Le ministre a décrit les motos comme étant non seulement des machines de livraison, mais aussi des machines à tuer difficiles à suivre, ajoutant qu’il était nécessaire de soumettre leur secteur aux cadres juridiques qui régissent les motos.